« Celui qui croit qu'une croissance exponentielle peut continuer indéfiniment dans un monde fini est un fou, ou un économiste. » Kenneth Boulding (1910-1993), économiste, président de l'American Economic Association
Si la planète est un monde au limite bien définie, notre imagination et notre créativité sont infinies. Au lieu de faire reposer la croissance économique sur l'abondance des matières premières, il faudrait appuyer celle-ci sur notre créativité. Par exemple, l'idée de M. Hossatte, notre enseignant du cours Changements climatique et Énergies me semblait très intéressante; "au lieu de s'acheter une voiture luxueuse, se payer les services d'un masseur, d'un cuisinier, ou encore de quelqu'un qui fait le ménage ou l'entretien paysager à notre place..." Voilà qui est luxueux. On fait travailler des gens, donc moins de chômage, les ressources de la planète sont préservées, les GES sont moindres et le confort agréablement accru.
Si la planète est un monde au limite bien définie, notre imagination et notre créativité sont infinies. Au lieu de faire reposer la croissance économique sur l'abondance des matières premières, il faudrait appuyer celle-ci sur notre créativité. Par exemple, l'idée de M. Hossatte, notre enseignant du cours Changements climatique et Énergies me semblait très intéressante; "au lieu de s'acheter une voiture luxueuse, se payer les services d'un masseur, d'un cuisinier, ou encore de quelqu'un qui fait le ménage ou l'entretien paysager à notre place..." Voilà qui est luxueux. On fait travailler des gens, donc moins de chômage, les ressources de la planète sont préservées, les GES sont moindres et le confort agréablement accru.


Les contraintes sont sources de créativités! Quel beau défi l'humanité doit relever... le défi de sa survie!